Tremplin 2018

 

Après une longue et difficile délibération du jury, c’est Titouan qui remporte le prix du Jury et qui ouvrira donc la grande scène du Festival Les Z’Arpètes #16 ! Prix Spécial cette année pour Mama killa qui obtiennent également les encouragements du jury. Quant au prix du public, il est décerné cette année à tout l’équipage des Golden Parachute, qui ont enflammé la fin de soirée !

Crédit photo: Clinhada

Nous tenons à remercier chaleureusement tous les bénévoles qui ont œuvré dans l’organisation de ce Tremplin, nos nombreux partenaires pour leur soutien et lots, les groupes pour leurs prestations de qualité et les participants ayant bravé la pluie, une fois encore à notre détriment, venus partager cet instant musical important dans la vie de l’association !

Avec : ÆZIREt Pourtant Elle TourneRocketchanson AremaKiéKi MusiquesCyril DivadMusicalarue AssoCabinet Musical du Dr LarseneTous AzimutsO2 RADIO

∴ ∴ PROGRAMMATION ∴ ∴
Titouan – Hip hop and more :
Sur fond de hip hop, mêlant musique, danse et textes, Titouan s’affranchit des frontières. Une invitation dans un voyage puissant où le Jazz se teinte de couleurs africaines, balkaniques et orientales. Deux conteurs sur scène pour une même histoire captivante.
La flûte traversière flirtant avec le beatbox et le timbre feutré de la clarinette s’accordent aux rythmes des machines. Texte et corps s’unissent pour nous délivrer une émotion brute.
En résulte un hip hop d’un genre nouveau qui, le temps d’un spectacle, interroge les certitudes en transportant son auditoire hors des sentiers battus.
Mama Killa – Rock :
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Mama Killa te regarde, te câline, et te crache au visage.
Stéphane Del Castillo à la guitare et au chant et Boris Larzul à la batterie et aux samples déversent une énergie rock aux allures british sur ceux qui aiment hocher la tête.
Les compositions vont du blues psyché au grunge électro délabré.
ÆZIR – Trip-Hop / Electronic :
Composé de membres venant aussi bien de la musique que de la danse ou des arts plastiques, Aezir est le fruit de la rencontre de ces différents mondes.
En résulte un trip-hop électrique, oscillant entre ambiances électroniques, sonorités cuivrées et rap engagé.
Aezir n’a qu’un seul but: s’affranchir des codes pré-établis pour offrir une expérience sonore et visuelle hors du commun.
Golden Parachute – Ragga / Folk Festif :
Golden Parachute est un groupe Bordelais né en 2012 en format duo. Le groupe a beaucoup évolué et propose aujourd’hui un spectacle issu de leur premier album qui sortira courant 2018, un style Ragga Folk Pirate sur-vitaminé et humoristique via des textes en Français. Leurs chansons racontent les aventures de l’équipage d’un navire pirate, partant en mer aussi déterminé qu’ivre mort, en quête d’une vie meilleure. Un spectacle grotesque et touchant à la fois, ponctué par des voix lyriques et des flows ragga, sur de la musique folk et cuivrée. Ils sont quatre musiciens (guitare, basse, chant, saxophone, et une batterie électronique), et peuvent être jusqu’à 6 en gonflant la section cuivre (1 trompette et 2 saxophones). Golden Parachute est un groupe de scène qui fait le show à chaque concert, et ne s’arrêtera pas de si tôt ! Êtes vous prêt pour l’embarquement ?
► INVITÉS : Et Pourtant Elle Tourne (EPLT) – Hip hop fusion :

« Et Pourtant Elle Tourne » : c’est la phrase qu’aurait murmuré Galilée à la fin de son procès. Dans cette idée, le groupe « Et Pourtant Elle Tourne » (EPLT) cherche à « faire bouger les têtes au propre et au figuré »…

« au propre », avec un son Hip-Hop basé sur une rythmique mélange de basse-batterie et de machines électroniques, et des mélodies orchestrées par les guitares électriques, les cuivres et les claviers. L’histoire musicale de chacun des membres d’EPLT fait osciller cette base Hip-Hop entre jazz, groove, rock, électro…

« au figuré », avec une attention toute particulière portée sur le fond et la forme des textes en français. Les trois « plumes » d’EPLT écrivent leurs couplets respectifs en autonomie avant de les retravailler tous ensemble pour rapper sur des thèmes communs.

« Et pourtant elle tourne, pas en rond mais à l’envers ! »